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									1925. C'est une année d'intense production 
									pour tous les compositeurs révélés depuis la 
									fin de la guerre : Maurice YVAIN (Pas 
									sur la bouche, un très gros succès et
									
									Bouche à bouche, un échec alors que c'est 
									l'une de ses meilleures et plus copieuses partitions), 
									Henri CHRISTINÉ (PLM 
									et
									
									J'adore ça), Joseph SZULC (Quand 
									on est trois et
									
									Mannequins), René MERCIER (Le 
									Péché capiteux, un peu en recul sur ses 
									oeuvres précédentes) et troisième succès, de 
									plus en plus net, de Raoul MORETTI avec
									
									Trois jeunes filles nues (le compositeur 
									devient spécialiste des procès : la pièce aura 
									des difficulté en province à cause de son titre 
									provocant !). C'est une année très "jazz", surtout 
									grâce à Maurice YVAIN et Raoul MORETTI qui, 
									le premier, lance le charleston en France.Ajoutons deux pièces de compositeurs connus 
									dont c'est la seule incursion dans le genre 
									:
									
									Pépète de José PADILLA (l'immortel compositeur 
									de "Valencia" et autres succès de Mistinguett) 
									et
									
									Riri de Charles BOREL-CLERC (le non moins 
									immortel compositeur du "Petit vin blanc" et 
									auparavant de nombre de chansons patriotiques 
									en 1914-1918)
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