1941. Les reprises continuent à se
tailler la part du lion, mais deux nouveautés,
dans des genres très différents, connaissent
un bon succès :
L'Auberge qui chante, la dernière oeuvre
de Tiarko RICHEPIN (qui doit tout à sa musique,
le livret étant particulièrement niais), et
Eulalie, petite pochade de Georges MATIS
sur un livret de Raymond SOUPLEX. Deux autres
créations,
La Tendre Alyne de Marc BERTHOMIEU et
L'Ecole buissonnière de Georges VAN PARYS,
pourtant sans doute plus méritantes, ne trouvent
pas vraiment le succès.
A l'extrême fin de l'année,
Plume au vent, de Claude Pingault connaît
le succès à Lyon, avant de monter à Paris en
1948. |
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