Le Rosier.
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 23.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier. Affiche
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Dessin
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Extr. de : Comoedia, 23.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier. Le Coiffeur
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Caricature
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier. Un paysan
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Caricature
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 25.02.1925 |
BNF Gallica |
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Le Rosier. Couverture de la partition complète
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Dessin Maurice Berty (1884-1946)
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Internet |
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Le Rosier
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opérette en 3 actes |
Représentations
Création mondiale (VO) |
Liège (Belgique) |
Forum |
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24/03/1923 |
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 51 jours |
Folies Dramatiques |
24/02/1925 - 15/04/1925 |
P |
51 |
Création |
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Distribution à la création
Programme
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1927 Folies Dramatiques
Coll. Jacques Gana |
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D'après le copyright affiché dans la partition, cette pièce a été composée en 1914.
L'Histoire
Résumé de la pièce
×
Mlle Prudent, vieille fille très pudique, a un neveu de 22 ans, Gabriel, qu’elle a élevé, et couvé comme les oies blanches de naguère, de sorte qu’en matière d’amour, ce jeune coquebin ne sait rien de rien. Mieux encore, l’antique demoiselle a formé le projet de faire décerner à son angélique neveu, le prix de vertu qu’octroie un voisin village à la plus sage personne du canton. Ce prix, qui vaut dix-huit cents francs, déchaîne les compétitions. Les autorités municipales ont déjà écarté quatre jeunes filles qui le briguaient, pour insuffisance de vertu. Une cinquième se présente, Agathe, fille du père Grenu, paysan du lieu. Mais elle ne passe que le temps des vacances au village natal. Le reste de l’année elle est modiste à Paris, au Quartier Latin, où elle fréquente assidûment le bal Mabille, les artistes et, les étudiants. N’empêche qu’elle joue fort bien la sainte Nitouche, et, que le père Grenu croit dur comme fer à la vertu de sa fille. De plus, les 1.800 francs lui seraient une fort bonne aubaine. Tandis que s'élaborent ces édifiants débats, une femme satyre bouleverse la contrée, à la grande satisfaction des habitants mâles parmi lesquels elle choisit chaque nuit une heureuse victime, et au grand dam de Bidoux, le garde champêtre, dont les enquêtes et les surveillances restent vaines.
Un jeune peintre parisien, Saturnin, tombe au milieu de cette agitation villageoise que son extravagance de rapin va porter au paroxysme. C’est un compagnon de plaisir de la jeune Agathe, et, comme celle-ci est prise d’un goût voluptueux pour le tendre puceau Gabriel, à qui la chasteté finit par peser, il décide de les jeter aux bras l'un de l’autre. Encore faut-il, pour cela, éloigner la farouche demoiselle Prudent, qui veille nuit et jour sur la vertu de son neveu. Saturnin emploie le moyen classique et infaillible. Il joue à la vieille personne, la comédie de l’amour. Elle s’y englue, naturellement. Le démoniaque garçon va plus loin. Puisqu’il faut une victime à la vindicte publique et une proie au garde champêtre, il s’arrange pour faire arrêter Mlle Prudent. Malgré ces multiples avatars, vous pensez bien que tout se terminera le mieux du monde. La prisonnière est reconnue innocente par le garde champêtre, repentant au point de l’épouser. Quant au prix de vertu, il ne sera décerné ni au neveu de Mlle Prudent, surpris sortant déniaisé de la chambre d'Agathe, ni à celle-ci, sa complice, mais à la douce Micheline qui adore en secret Gabriel et l’épousera. Deux autres mariages encore compléteront le bonheur final et unanime : celui de la rusée Agathe avec le maire, marquis de Chantermerle, et celui de Saturnin lui-même avec une ardente et plantureuse cabaretière.
[Extrait de "La Presse", 26 février 1925]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Max Eschig,
1923
Partition complète (216 p.) |
1925 |
Livret (159 p.) |
1927 |
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