Monsieur Beaucaire. André Baugé
|
Photo
|
|
|
Monsieur Beaucaire. Marcelle Denya et André Baugé (1925)
|
Photo
|
coll. ANAO |
|
Monsieur Beaucaire. Marcelle Denya et André Baugé (1925)
|
Photo
|
coll. ANAO |
|
Monsieur Beaucaire. Partition chant seul
|
Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
|
Coll. Jacques Gana |
|
Monsieur Beaucaire. José Delaquerrière (Rouen, 1927)
|
Photo
|
Coll. Liliane Delaquerrière RIchardson |
|
Monsieur Beaucaire. Interprétation hollywoodienne de la même source, le film américain (1940)
|
|
|
Monsieur Beaucaire. Air détaché : La Rose rouge (27 x 35 cm)
|
Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
|
Coll. Jacques Gana |
|
Monsieur Beaucaire. Rudolf Valentino dans le premier film inspiré de l'oeuvre de Booth Tarkington (1924)
|
Photo
|
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 32, 15.04.1924 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Rudolf Valentino dans le premier film inspiré de l'oeuvre de Booth Tarkington (1924)
|
Photo
|
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 34, 15.05.1924 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Air détaché : La Rose rouge (correspondant prétendument à la version filmée, alors que le film n'est pas l'adaptation de l'opérette) (1928)
|
Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
|
Coll. "Images musicales" |
|
Monsieur Beaucaire. Encart publicitaire pour le film de Rudolph Valentino (1928)
|
Dessin
|
Extr. de : Le Matin, 28.06.1928 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Encart publicitaire
|
Extr. de : Le Matin, 13.11.1925 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Le film avec Rudolf Valentino
|
Photo
|
Extr. de : Comoedia, 01.03.1925 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Le film avec Rudolf Valentino
|
Photo
|
Extr. de : Comoedia, 01.03.1925 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Le film avec Rudolf Valentino
|
Photo
|
Extr. de : Comoedia, 01.03.1925 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire.
|
Photo Gaston et Lucien Manuel
|
Extr. de : Comoedia, 22.11.1925 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire.
|
Photo Pierre Apers
|
Extr. de : Comoedia, 22.11.1925 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Reprise à la Gaité Lyrique (août 1935). Monette Dinay, Thissen
|
Photo E. Brücken
|
Extr. de : Comoedia, 02.09.1935 |
BNF Gallica |
|
Monsieur Beaucaire. Affiche du film avec Rudolf Valentino
|
Dessin
|
Internet |
|
Monsieur Beaucaire. Partition complète
|
Dessin
|
Internet |
|
Monsieur Beaucaire. Affiche originale (1925)
|
Dessin Georges Villa (1883-1965)
|
Internet |
|
Monsieur Beaucaire. Partition originale anglaise (1919)
|
Dessin
|
Internet |
|
Monsieur Beaucaire. Air détaché chant et piano : Vole, vole
|
Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
|
Coll. Claude Albisson |
|
Monsieur Beaucaire. Air détaché chant et piano : Plus un mot
|
Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
|
Coll. Claude Albisson |
|
|
|
Monsieur Beaucaire
|
|
(trad. de Monsieur Beaucaire)
|
|
opérette romantique en 3 actes |
Représentations
Création mondiale (VO) |
Londres (Grande-Bretagne) |
Prince's Theater |
|
19/04/1919 |
|
Distribution à la création
Programme
|
1925 Marigny
Coll. Jacques Gana |
|
|
1927 Théâtre français, Rouen (reprise)
Coll. Jacques Gana |
|
|
1928 Graslin (Nantes) (reprise)
Coll. Jacques Gana |
|
|
1929 Gaîté Lyrique (reprise)
Coll. Jacques Gana |
|
|
D'après une nouvelle de Booth Tarkington.
Il y eut vers 1918-19 une grand vogue des compositeurs français en Grande-Bretagne : Messager, Lattès et surtout Cuvillier ont fait créer plusieurs pièces à Londres avant Paris, suivant en cela le belge Félix Tilkin qui, sous le nom d'Ivan Caryll, fut le plus important compositeur d'opérettes edwardiennes avant Lionel Monckton.
Celle-ci, créée à Londres en 1919, n'aurait sans doute jamais atterri sur une scène française sans le film homonyme tiré de la même nouvelle, avec en vedette Rudolf Valentino. Le film avait été présenté le 26 février 1925 au théâtre Mogador, transformé pour quelques mois en cinéma.
Contrairement à la "Nelly" de Lattès qui fut sérieusement remaniée pour son passage en France, la partition de "Monsieur Beaucaire" est quasi-identique des deux côtés de la Manche.
L'Histoire
Résumé de la pièce
×
Acte I. Une salle de bal Dans la salle de bal de la demeure de Lady Rellerston, tante de lady Mary, l'élite de l'aristocratie anglaise papote (choeur "Les Romaines passaient comme nous"). On attend la jeune fille, la reine de la soirée, dont plusieurs soupirants espèrent obtenir un peu d'attention. Molyneux, quant à lui, est épris de la cousine de Mary, Lady Lucie (soprano léger) dont la coquetterie l'exaspère (duo "Pour faire une prisonnière"). Dans une longue scène chantée ponctuée par les interventions du choeur, Mary fait son entrée (choeur "Souhaitons la bienvenue »), justifie son attitude (couplets "Vous me reprochez ma froideur"), accepte mollement les compliments de ses admirateurs mais prête un intérêt certain à ceux du Duc de Châteaurien (compliment "Dans le vieux Roman de la Rose" et air "Les vagues écumantes") que Winterset lui présente d'un air crispé. Restés seuls, Beaucaire déclare son admiration à Mary qui n'y est pas insensible, et lui demande la rose qui orne son corsage (duo "Vous demandez une rose"). Après la sortie de la jeune fille, Winterset, jaloux et décidé à se venger, fait provoquer en duel Beaucaire par un fin bretteur, la capitaine Badger (basse) (quatuor "Pardieu Monsieur, je suis Anglais"). Pendant que le duel se déroule dans le jardin, la fête reprend dans la salle avec un long ensemble qui termine l'acte (choeur et danse : Le menuet des roses, interventions diverses et récit du duel, retour de Beaucaire qui, la rose à la main, ouvre le bal ; reprise par tous de l'air de la rose du prologue).
Acte II. Un jardin chez Bantison Afin d'attirer l'attention de Lady Mary, l'un de ses soupirants, le gros et riche Bantison (ténor) donne une fête dans le jardin de sa demeure (choeur "Quand le soleil dore") et en a confié la réalisation au maître de réception Nash, un ancien dandy ruiné (air "Quand j'étais roi de Bath"). On y retrouve tous les personnages précédents plus un nouvel invité, Bicksitt, aussi gaffeur que myope. Lucy trône au milieu d'une cour de galants (air "A femme jolie") qui fâche à nouveau Molyneux. La fête se terminant, Mary vient faire ses adieux (choeur: "Le jour diminue" et valse lente de Mary, le célèbre "air du rossignol"), mais Châteaurien, qui lui a écrit plusieurs fois depuis leur première rencontre, la retient un instant pour lui déclarer son amour (duo "Quoi! si doux ce beau soir"). Winterset, toujours décidé à se venger, a rassemblé les soupirants éconduits et les laquais pour fouetter Beaucaire qui se défend l'épée à la main. Mary met fin au combat en s'interposant et en avouant son amour pour le Français. Au cours de la scène finale, Winterset révèle la vile condition de Châteaurien qui avoue être bien le barbier Beaucaire (ensemble "Non, non, ce serait vous faire croire vraiment"). Profondément humiliée, Mary se retire tandis que Molyneux emmène Beaucaire blessé et évanoui.
Acte III. Une salle au Casino de Bath Huit jours, plus tard, dans une salle du casino de Bath où un grand gala réunit à nouveau toute la gentry, on attend avec une impatiente curiosité l'arrivée de l'ambassadeur de France (choeur "Vous connaissez la nouvelle"). Beaucaire est au coeur de la conversation ; comme il a juré d'être présent à la soirée, des consignes ont été données pour lui en interdire l'entrée et les soupirants de Lady Mary s'organisent (sextette guerrier "Quand un brave général"). Celle-ci, au bras de Winterset, qui espère retrouver ses faveurs, avoue son désarroi. Quand Molyneux apparaît, Lucy, qui est furieuse de ne pas avoir eu de ses nouvelles pendant huit jours (il a soigné Beaucaire), essaie de provoquer sa jalousie (duetto "Je connais une belle") puis lui rend son affection. L'autorité de Molyneux a permis à Beaucaire d'entrer dans le Casino ; mis en présence de Mary, celui-ci (qui veut se faire aimer d'elle sans dévoiler sa véritable identité), essaie de lui faire comprendre la sincérité et la profondeur de ses sentiments (air "Un amour si fort, si tendre"). La jeune femme, oubliant son orgueil, se laisse fléchir bien que ne sachant rien de lui (air "Qu'est-ce qu'un nom?") et prend sa défense lorsque les prétendants, menés par Winterset, reviennent pour chasser Beaucaire. L'arrivée de l'ambassadeur (choeur "Place ! Place !"), qui baise la main de Beaucaire, jette la stupeur dans l'assistance jusqu'à ce qu'il dévoile la véritable personnalité de son barbier, son Altesse Royale le duc d'Orléans, cousin du roi France qui le rappelle à la cour. Beaucaire n'a donc plus de raison de se cacher (air "Monsieur Beaucaire ? en vérité"), heureux d'avoir su conquérir sous son image de barbier celle qu'il emmène en France pour en faire la duchesse d'Orléans (choeur final et reprise de l'air "O mer écumante")
[Internet]
Monsieur Beaucaire est un personnage singulier. Barbier officiel à l’ambassade de France en Angleterre, il est venu passer ses vacances a Bath, où il tente de se glisser dans le monde élégant qui fréquente la célèbre ville d'eaux. Il y donne à jouer et, chez lui, on joue cher, surtout "Sa Grâce" le duc de Winterset, grand seigneur décavé et sans scrupules, amoureux, d ailleurs intéressé, de l’orgueilleuse et riche Mary Carlisle, la Belle des Belles de la saison. Beaucaire, de son côté, s’est épris d’elle, d’un amour romanesque, qu’il avoue à son ami sir Philippe Molyneux, amoureux grondeur de la délicieuse et coquette Lucy. Car une amitié profonde unit les deux hommes, respectueuse de la part de Molyneux et prompte à s’alarmer des dangers que peut courir Beaucaire, s'il se lance a la conquête de Lady Mary... Ce dernier y est bien décidé, et il a résolu de se faire présenter, le soir même, au bal que donne une grande dame, tante de lady Mary. Cela semble impossible. Mais Beaucaire a son plan : Winterset doit venir jouer chez lui, il s'arrangera pour le surprendre en flagrant délit de tricherie... Le duc, en effet, tombe dans le piège... Soit ! Beaucaire ne dira rien, à la condition que Winterset lui même le présente tout a l'heure au bal... Winterset, la rage au cœur, est forcé de consentir. Il présente Beaucaire sous le nom de duc de Châteaurien...
Celui-ci plaît à lady Mary, à la grande fureur de Winterset qui le fait provoquer en duel par un spadassin, le capitaine Badger. Mais Beaucaire sort vainqueur de ce duel et Lady Mary lui donne la rose rouge qu’elle avait dans les cheveux. Winterset est de plus en plus furieux et, pendant une fête champêtre, attire Beaucaire dans une véritable embuscade : gravement blessé, celui-ci avoue à lady Mary que le barbier Beaucaire et le duc de Châteaurien ne sont qu’une seule et même personne. Il n'a pas le temps d’en dire davantage, Lady Mary s’éloigne, Beaucaire s’évanouit.
Tout se découvre enfin au troisième acte. Lady Mary, toujours amoureuse, se doute que Beaucaire pourrait bien être un faux barbier. Elle lui avoue qu’elle l’aime, malgré tout. Elle ne le regrettera pas : Beaucaire est, en réalité, un prince de France, le duc d’Orléans, parent de Louis XV, un moment banni par son royal cousin, mais qui, pardonné, pourra revenir à la Cour de France, heureux époux de la belle lady Mary, que Beaucaire a si joliment et si extraordinairement conquise.
[Extrait du programme original, Marigny, 1925]
|
Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Salabert,
1925
Partition complète (167 p.) |
|
Partition complète (anglaise : "Monsieur Beaucaire", Ascherberg Hopwood, 1918, 187 p.) |
1918 |
Anglaise ou française |
|
Et c'est pourquoi |
|
La Rose rouge |
|
Plus un mot |
|
Rossignol |
|
Sous les étoiles |
|
Vole, vole |
|
La Rose rouge (in "Album Salabert piano seul" n° 8) |
|
Livret (94 p.) |
|
Version filmée, TV, vidéo
Il existe deux films en 1924 (avec Rudolf Valentino !) et en 1946 portant ce titre, mais c'étaient tous deux des adaptations du roman original et non de l'oeuvre de Messager, même si la diffusion du film en France en 1928 entretenait l'ambiguïté...
Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
Diffusions radio RDF/RTF/ORTF
04/08/1945 |
|
09/03/1947 |
Avec : Lequenne (Andrée), Dachary (Lina), Clément (Willy), Moryn (Gilbert), Lenoty (René), Urban, Prigent (Maurice), Genio, Foix (Georges) - Dir. Cariven (Marcel) |
28/09/1947 |
Avec : Lequenne (Andrée), Dachary (Lina), Clément (Willy), Moryn (Gilbert), Armon (Luc) |
14/11/1948 |
Avec : Lequenne (Andrée), Dachary (Lina), Clément (Willy), Moryn (Gilbert), Armon (Luc), Urban, Prigent (Maurice), Payen (Paul), Genio, Foix (Georges), Wavelet (Jean) - Dir. Cariven (Marcel) |
28/08/1949 |
Avec : Lequenne (Andrée), Dachary (Lina), Clément (Willy), Moryn (Gilbert), Armon (Luc), Prigent (Maurice), Payen (Paul), Foix (Georges) - Dir. Cariven (Marcel) |
01/11/1949 |
Avec : Jansen (Jacques), Lenoty (René), Moryn (Gilbert), Noël (André), Vieuille (Jean), Godin (Guy), Germain (Pierre), Christophe (Jean), Dachary (Lina), Hausamann (Françoise) - Dir. Gressier (Jules) |
24/08/1952 |
Avec : Lequenne (Jeanne), Dachary (Lina), Clément (Willy) |
10/12/1952 |
Avec : Dens (Michel), Angelici (Martha), Berton (Liliane) |
02/01/1954 |
Avec : Lequenne (Andrée), Dachary (Lina), Clément (Willy), Moryn (Gilbert), Armon (Luc), Urban, Prigent (Maurice), Payen (Paul), Genio, Foix (Georges), Wavelet (Jean) - Dir. Cariven (Marcel) |
23/05/1954 |
Avec : Duperrin (Suzanne), Berton (Liliane), Clément (Willy), Lenoty (René), Lovano (Lucien), Ville (Paul), Vieuille (Jean), Benoît (J.Christophe), Enot (Marcel) - Dir. Gressier (Jules) |
26/12/1955 |
Avec : Duval (Denise), Serres (Marthe), Jansen (Jacques), Amade (Raymond), Moryn (Gilbert), Enot (Marcel), Vieuille (Jean), Hivert (Jacques), Clavensy (Charles), Rallier (Serge), Fagianelli (José), Noël (André), Daguerressar (Charles), Antoine |
01/07/1956 |
Avec : Duperrin (Suzanne), Clément (Willy), Berton (Liliane), Lenoty (René) |
23/02/1957 |
Avec : Duperrin (Suzanne), Boulangeot (Huguette), Clément (Willy), Lenoty (René), Lovano (Lucien), Lestelly (René), Balbon (André), Daguerressar (Charles), Pruvost (Jacques) - Dir. Cariven (Marcel) - orch. radio Lille |
02/06/1957 |
Avec : Clément (Willy), Duperrin (Suzanne), Berton (Liliane), Lenoty (René) |
07/04/1958 |
Avec : Dachary (Lina), Broissin (Nicole), Clément (Willy), Lenoty (René), Lovano (Lucien), Bedex (Henri), Balbon (André), Foix (Georges), Enot (Marcel), Pruvost (Jacques), Moryn (Gilbert) - Dir. Gressier (Jules) |
03/08/1958 |
Avec : Dachary (Lina), Broissin (Nicole), Clément (Willy), Lenoty (René), Lovano (Lucien), Bedex (Henri), Balbon (André), Foix (Georges), Enot (Marcel), Pruvost (Jacques), Moryn (Gilbert) - Dir. Gressier (Jules) |
24/01/1960 |
Avec : Dachary (Lina), Broissin (Nicole), Clément (Willy), Lenoty (René), Lovano (Lucien), Bedex (Henri), Balbon (André), Foix (Georges), Enot (Marcel), Pruvost (Jacques), Moryn (Gilbert) - Dir. Gressier (Jules) |
10/09/1961 |
Avec : Dachary (Lina), Clément (Willy), Lovano (Lucien) |
25/11/1962 |
Avec : Jansen (Jacques), Dachary (Lina), Jacquin (Christiane), Alvi (Bernard), Tirmont (Dominique), Pruvost (Jacques), Huberty (Lucien), Fauché (Michel), Balbon (André), Genio - Dir. Kreder (Jean-Paul) |
02/06/1965 |
Avec : Dachary (Lina), Jacquin (Christiane), Doniat (Aimé), Hamel (Michel) - Dir. Derveaux (Georges) |
02/02/1967 |
Avec : Dachary (Lina), Jacquin (Christiane), Doniat (Aimé), Hamel (Michel) - Dir. Derveaux (Georges) |
16/10/1970 |
Avec : Bergeret (Claude), Stiot (Monique), Jansen (Jacques), Plantey (Bernard), Tirmont (Dominique), Vigneron (Marcel), Doniat (Aimé), Peyron (Joseph), Fauché (Michel), Demigny (Bernard), Tharande (Jacques) - Dir. Périsson (Jean) |
|
Rossignol
extrait, par Mado Robin, enrgt public. |
ca. 1950 |
|
Sélection 33T
disque 33T 30cm EMI C 051 12 086 |
1952 |
|
Sélection 78T
Une série de 78T Columbia anglais enregistrés lors de la création de la version originale à Londres, en 1919, rééd. 33T 30cm OPAL 817 |
1919 |
|
Enregistrement intégral RTF
RTF Radio Lyrique, 27 mars 1958 (dif. 7 avril 1958) |
1958 |
|
Enregistrement intégral Radio-France
France-Culture, 16 octobre 2016 (dif. 9 avril 2017) |
2017 |
|
Enregistrements 78T/mn
|
|