Articles de presse
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28/09/1908 |
"Farandole 1er, roi de Calvitie" et "Phénomène", projets avortés (Richepin-Guitry, 1908) ["Un phénomène" sera monté en 1923 avec une musique de Christiné]. Lettre. |
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19/04/1909 |
Tell père, tell fils, première oeuvre de Tiarko Richepin, sur un livret de Sacha Guitry, et avec un accompagnement de Maurice Yvain. Article. |
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06/08/1930 |
"La Corsaire", projet avorté (1930). Article. |
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23/08/1930 |
"La Chanson des bérets", partition manuscrite inédite. Article. |
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03/04/1932 |
Photo. |
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29/03/1934 |
Au Théâtre des Deux Anes : Tiarko Richepin et le petit Mircha duettistes. Article par Pierre Barlatier. |
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29/08/1935 |
Nous allons revoir M Tiarko Richepin et le petit Mirka. Article. |
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20/09/1941 |
"La plus jolie", oeuvre collective de Richepin, Cuvillier, Alix, Courtioux sur un livret d'André Baugé et José Germain, projet avorté (1941). Article. |
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Fils cadet du poète Jean Richepin, il débute dans l'opérette en 1909 avec Sacha Guitry, pour "Tell père, Tell fils" (1 acte, Théâtre Mevisto, 17 avril 1909, accompagné au piano par Maurice Yvain, déjà). Après quoi, on ferma le théâtre !
En 1914, il connaît le succès à l'Opéra-Comique avec "La Petite marchande d'allumettes". Ceci est symptomatique de l'ambiguïté de son oeuvre, qui oscille toujours de façon un peu indécise entre la comédie musicale et l'opéra-comique.
En 1919, il s'associe avec Albert Willemetz pour "Rapatipatoum" qui connaît un succès médiocre. En 1927, il récidive avec "Venise", initialement conçue pour l'Opéra-Comique, et en 1932 avec "La Tulipe noire", dans le même genre. Entre-temps, il aura produit la seule véritable comédie musicale de sa carrière, "Le Renard chez les poules" (1929), qui surprend la critique et ne trouve pas véritablement son public, malgré une distribution de premier ordre et d'indéniables qualités musicales.
Il trouve finalement sa voie et ses plus grands succès dans ses deux associations avec Henri Christiné qui lui apporte la légèreté et la facilité qui lui manquaient pour devenir véritablement populaire.
En 1941, il écrira sa dernière oeuvre, une des rares jouées pendant la guerre, "L'Auberge qui chante", avec le chanteur vedette des années sombres, André Dassary.
Entre 1935 et 1939 il écrivit aussi quelques chansons, et de musiques de films.
Il eut enfin, en tant que fils de poète, le rare privilège de faire l'objet d'un poème de Raoul Ponchon ("Conseils à Tiarko Richepin").
Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
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