Epouse-la !. Partition complète (24 x 32 cm)
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Dessin
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Coll. Jacques Gana |
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Epouse-la !. Affiche
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Dessin R. Laroche
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Internet |
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Epouse-la !. Air détaché : Le Jeune homme d'à présent
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Coll. "Images musicales" |
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Epouse-la !. Air détaché : Valse hésitation
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Coll. "Images musicales" |
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Epouse-la !.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 17.01.1923 |
BNF Gallica |
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Epouse-la !.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 17.01.1923 |
BNF Gallica |
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Epouse-la !.
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 17.01.1923 |
BNF Gallica |
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Epouse-la !. Reprise aux Capucines (juin 1923)
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 29.06.1923 |
BNF Gallica |
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Épouse-la !. Epouse là ! partition chant seul
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Dessin
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Internet |
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Épouse-la !. Partition dédicacée, collection Davia : Dédicaces de Henri Hirchmann et Pierre Veber
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Internet |
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Épouse-la !
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opérette en 3 actes |
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 212 jours |
Femina |
16/01/1923 - 20/04/1923 |
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95 |
Création |
Montrouge |
11/05/1923 - 28/05/1923 |
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18 |
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Capucines |
22/06/1923 - 15/09/1923 |
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86 |
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Concordia |
03/11/1923 - 15/11/1923 |
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13 |
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Distribution à la création
Programme
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1923 Célestins, Lyon (reprise)
Coll. Th. des Célestins |
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1924 Nice, Eldorado Casino
Coll. Jacques Gana |
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D'après la pièce parlée "Chambre à part" du même auteur (1905).
L'Histoire
Résumé de la pièce
×
Le jeune Roger La Chambotte désirerait vivement épouser la jolie Nicolette, nièce et héritière de la richissime Mme de Monbissac ; et il confie ses craintes et ses espoirs à l'avoué Desvignolles, ami de la famille, pendant une soirée que donne l'aimable Mme Monbissac. Dans le salon se trouvent Marcelline, une pratiquante du divorce qui vient même de récidiver et ne pense qu'à convoler de nouveau et aussi M. Montrochet et son fils André, frère et neveu de Mme Monbissac. André Montrochet est un noceur parfait, qui ne rêve que soupers et parties fines et mène une vie désordonnée. Pour évincer un concurrent, qu'il sait être le favori de Mme Monbissac, La Chambotte déshabille moralement son ami André, aux yeux de Nicolette, espérant ainsi avancer ses propres affaires. Aussi bien l'effet est tout opposé et Nicolette se sent attirée vers André à l'exposé de sa réputation de fêtard à la mode. André, fait par habitude, la cour à Marcelline ; et, lorsque sa tante l'informe qu'il devrait se marier et lui vante les mérites de Nicolette, il lui oppose un septicisme souriant qui l'enrage. Il va même plus loin et sur la demande de La Chambotte, lui promet de se faire son avocat auprès de Nicolette. A peine seul avec sa cousine, André est frappé par l'exquis changement qui s'est opéré en elle depuis qu'il ne l'avait vue. Nicolette est ravie et, quand il avance le mot de mariage, et lui demande son opinion, c'est avec beaucoup de crânerie qu'elle lui déclare, qu' à son avis, celui-ci ne doit nullement entraver la liberté des deux époux, et que l'indépendance conjugale doit aller même jusqu'à faire chambre à part, dès le premier jour, pour ne rien changer à leurs habitudes. Cette théorie suffoque un peu André, qui, se souvenant de sa mission, lui fait part qu'il s'agit de La Chambotte et non de lui, comme elle semble le supposer. A cette révélation, Nicolette, qui a laissé voir qu'il ne lui était pas indifférent, le quitte aussitôt furieuse autant que dépitée. Ahuri, Roger conte sa déconvenue à sa tante qui le traite d'imbécile et lui déclare que Nicolette est la femme qu'il lui faut et qu'il doit l'épouser. Comme Mme Monbissac a promis une commandite très forte à son frère, si le mariage se faisait, M. Montrochet l'assure de son concours pour décider André. Convaincu par tous ces arguments, dès la rentrée de Nicolette, André demande à sa tante de lui accorder sa main. Ce geste met furieuse Marceline et La Chambotte qui promettent de se venger. La façon de vivre de Nicolette et d'André n'a pas tardé à porter ses fruits et six mois après leur mariage, ils se lancent à la tète les qualificatifs les plus injurieux. Ils décident de divorcer et André promet à Marcelline de partir avec elle aussitôt délivré. De son côté Nicolette, qui flirte avec La Chambotte, l'assure qu'elle l'épousera dès le prononcé de son divorce. Seulement, pour ménager la santé de Mme Monbissac, Nicolette et André consentent à lui cacher leurs intentions momentanément et a se conduire en face d'elle comme s'ils étaient parfaitement heureux. Ce sont d'abord des mots aimables, puis des baisers et enfin la nuit à passer dans la même chambre que leur impose la présence de leur tante, Sans se l'avouer, cela ne leur déplait pas trop, mais exaspère La Chambotte et surtout Marcelline qui avait obtenu d'André un rendez-vous pour cette même nuit. Installés dans leur chambre, les époux se voient sous un aspect qu'ils ignoraient et bientôt une douce atmosphère les enivre. Provoqué par sa femme, André va la prendre dans ses bras quand un bruit de piano se fait entendre au-dessus. C'est Marcelline qui donne le signal convenu avec André pour lui rappeler qu'elle l'attend. Cette musique arrête André, mais, grisé par les charmes de Nicolette, il se ressaisit vite et va lui prouver son amour, quand le piano se fait entendre de nouveau. Cette fois, Nicolette a compris qu'il s'agit d'un signal de Marcelline. Hors d'elle, elle crie et appelle Mme Monbissac. Celle-ci arrive pour entendre sa nièce lui déclarer que son mari a une maîtresse et qu'elle-même a un amant. Et, pour justifier son affirmation, elle tire un rideau et La Chambotte arrive au même moment. Après ce scandale, les époux ont repris leur procédure de divorce et, comme iî n'y a pas de griefs très graves, Desvignolles décide, d'accord avec eux, d'organiser un constat d'adultère dans le domicile conjugal. Pour cela il a recours à une agence spéciale qui loue des complices aux maris qui veulent divorcer. Une fois la mise en scène réglée, les témoins prévenus, et que tout est bien au point. Arrive une jeune personne, du nom de Florise qui, prenant Nicolette pour la femme de chambre lui exprime sa sympathie et ses regrets de voir un ménage se disloquer au bout de si peu de temps. Elle force André à reconnaître qu'il aime sa femme, qu'il s'est trompé sur le mariage et que son désir serait de reprendre Nicolette. Comme les témoins s'impatientent, La Chambotte arrive pour prier André et sa complice de se dépêcher et il reconnaît en Florise, une petite femme qu'il a plaquée quelque temps auparavant. Elle le persuade qu'il va faire une bêtise, et brusquement, après un baiser provoquant, elle se sauve avec lui dans la chambre voisine. Pendant ce temps, Nicolette a réfléchi, l'idée que son mari la trompe excite sa jalousie, elle comprend qu'elle l'aime et ne veut plus divorcer. Elle arrive en courant et se jette dans les bras d'André, toute heureuse de constater que rien d'irréparable ne s'est encore passé et qu'ils sont faits pour s'adorer.
[Extrait du programme - Lyon, Célestins, 1924]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Max Eschig,
1923
Partition complète (128 p.) |
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Ca c'est l'amour |
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J'ai l'air d'une poire |
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J'ai les pieds en Valenciennes |
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Le Brigand... il est entré ! |
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Le Jeune homme d'à présent |
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Sois gentil... sois doux |
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Surprise-party ! |
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Va vit' rue Thérèse ! |
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Livret (144 p.) |
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Enregistrements originaux ECMF
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Enregistrement intégral d'après la partition
complète chant-piano originale (Enrgt. 2020) |
Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
Diffusions radio RDF/RTF/ORTF
03/10/1950 |
Avec : Renaux (Nadine), Delimoges (Blanche), Castille (Renée), Ristori (Gabrielle), Rey (Gaston), Allard (Robert), Duvaleix, Despuech (Henri) - Dir. Bervily (Edouard) |
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Enregistrements 78T/mn
Par des interprètes
n'ayant pas participé à la création
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J'ai l'air d'une poire / MARJAL (chant)
PATHE Sap 5149 (1923) - Coll. Jacques Gana
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J'ai l'air d'une poire / MARJAL (chant)
ODEON 73904 (1923)
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Va vite rue Thérèse / MARJAL (chant)
PATHE Sap 5149 (1923)
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Va vite rue Thérèse / MARJAL (chant)
ODEON 73904 (1923)
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