Les Compositeurs
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HIRCHMANN (Henri)
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Nom pour l'Etat civil :
Henri Hirschmann |
Naissance : Saint-Mandé,
30/04/1872 |
Décès : Paris, 03/11/1961 (89 ans) |
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Henri Hirchmann
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Photo
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coll. ANAO |
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Paul Ardot et Henry Defreyn dans "Les petites étoiles" de Pierre Veber et Léon Xanrof, musique d'Henri Hirchmann (Apollo, 1911)
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Dessin Yves Marevéry (1888-1914)
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BNF Gallica |
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Henri Hirchmann
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 23.01.1920 |
BNF Gallica |
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Princesse Carnaval. Henri Hirchmann
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 25.01.1920 |
BNF Gallica |
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La Nuit embaumée, comédie lyrique (1939)
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Photo
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Extr. de : Le Figaro, 23.05.1939 |
BNF Gallica |
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Les Petites étoiles. Partition complète (1912)
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Dessin Georges Dorival (1879-1968)
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Coll. Jacques Gana |
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Le jury du prix de la chanson française "Comoedia" et "Paris qui chante" en 1922.
Debout : Fursy, Hirchmann, Yvonne Yma, Pierre Chapelle, Max Viterbo, Joullot
Assis : Diodet, Trébla, Esteban-Marti, Couyba, René Mercier, Xavier Privas
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Photo
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La Petite Bohème (1905), air détaché chant seul
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Dessin Adolphe Willette (1857-1926)
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Coll. "Images musicales" |
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M. Hirchmann
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Photo Gilbert René
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Extr. de : Programme original de "Pouche" (Etoile, 1925) |
Coll. Jacques Gana |
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Henri Hirchmann
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Caricature Doll
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Extr. de : Programme original de "La Princesse Carnaval" (Apollo, 1920) |
Coll. Jacques Gana |
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Articles de presse
Comoedia
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15/08/1927 |
"Chiquette", projet avorté (1927). Article. |
Comoedia
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05/08/1928 |
Projet avorté pour les Bouffes Parisiens (1928). Article. |
Comoedia
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04/06/1935 |
Le compositeur Henri Hirchmann a battu tous les records ! [25 ans à la SACD]. Article. |
(suite)
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Le Figaro
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23/05/1939 |
La Nuit embaumée, comédie lyrique (1939). Article par Henri Hirchmann. |
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Avant la guerre, il devient célèbre grâce à deux oeuvres : "Les Hirondelles" (1904), - créée en Allemagne sous le pseudonyme d'Henri Herblay pour sonner plus français ! - et "La Petite Bohème" (1905).
Après la guerre de 14, il produit encore cinq oeuvres dont la seule à connaître une certaine notoriété est "Epouse-la" (1923).
De 1923 à 1925, il s'efforce dans les 3 oeuvres représentées ces années-là de suivre la mode, en composant divers fox-trots et one-steps, mais sa manière reste celle d'un compositeur d'avant-guerre et il ne peut concurrencer des compositeurs de 20 ou 30 ans plus jeunes. Ce pour quoi, dès la fin des années 20 il y renonce. Sa dernière opérette (créée à la Gaîté Lyrique qui n'avait pas une tradition moderniste à l'époque), "La Dame au domino", est déjà nettement plus classique - quoique pas autant qu'on l'a dit !
Après quoi il ne créera plus que deux ballets et une comédie lyrique, puis après guerre un sombre drame lyrique, "La Reine de Thyrma", à Lyon.
Il avait enlevé le "S" de son nom pour en faire un pseudonyme, mais aujourd'hui encore la plupart des sources le lui remettent indûment, y compris Kurt Gänzl !
Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
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