Articles de presse
Comoedia
|
23/12/1922 |
"Magic-Siki", revue (1922). Article. |
Comoedia
|
07/04/1928 |
Promenades et visites : sur la musique gaie et l'opérette française. Article par Pierre Maudru. |
(suite)
|
Excelsior
|
08/06/1929 |
"La Fille à papa", projet avorté (juin 1929). Brève. |
Comoedia
|
28/06/1930 |
"Grains de Beauté", projet avorté (1930). Brève. |
Cinémonde
|
12/03/1931 |
Après René Clair, quelques uns de ses interprètes nous parlent du "Million". Article par Michel Gérac (Suzanne Chantal). |
Cinémonde
|
09/04/1931 |
Cinémonde vous a dit son opinion sur "Le Million", il va maintenant vous le raconter. Film raconté par Jean Castelboux. |
Candide
|
09/04/1931 |
Le Million. Critique par Jean Fayard. |
Notre Temps
|
29/09/1933 |
Les Musiciens et le cinéma. Article par Georges Van Parys. |
Cinémonde
|
14/12/1933 |
Comment naissent les chansons de films. Article par Raymond Berner. |
(suite)
|
La Rampe
|
01/06/1937 |
Georges Van Parys, de toutes ses oeuvres, préfère... son fils qui a deux mois. Article. |
|
Il rencontre Philippe Parès, fils de Gabriel Parès (alors chef d'orchestre de la Garde Républicaine) au début des années 20, au cours Edmond Lavagne (Lavagne, de 20 ans leur aîné, sera quelques années plus tard le 3e larron de leurs premières musiques de films). Après une première pièce encore "en amateur", Georges Van Parys commence dès 1923 à composer de petites oeuvres (opérettes en un acte ou sketches musicaux) et des chansons, tout en gagnant sa vie comme pianiste accompagnateur, en particulier au célèbre cabaret "Chez Fysher", où il devient l'accompagnateur attitré d'Yvonne George. En 1927, Georges Van Parys et Philippe Parès collaborent ensemble une première fois pour "La Petite dame du train bleu" qu'ils ont vainement essayé de faire monter à Paris, et qui échoit à Lyon. Six mois plus tard, ils parviennent à placer au Daunou, grâce à Jane Renouardt, leur "Lulu". Cette seconde pièce est un succès, qui leur permet de faire monter à Paris leur première oeuvre commune. Ils collaboreront systématiquement sur toutes leurs oeuvres jusqu'en 1931 (quatre pièces et plusieurs musiques de films muets, puis celle du "Million" de René Clair), après quoi le succès mitigé de "Couss-couss" et surtout l'orientation accrue de Georges Van Parys vers le cinéma, celle de Philippe Parès vers l'édition et la production, sépareront leurs routes. Ils ne se retrouveront qu'en 1958 pour une oeuvre d'inspiration beaucoup plus classique qu'à leurs débuts, "Le Moulin sans souci". Pour Van Parys, la voie est tracée : il sera un des plus importants compositeurs de musique de films français jusqu'à la fin des années 60, en quantité et en qualité. Il sera en tout cas le plus populaire, ayant le don de caser un air à succès dans la plupart de ses partitions. Parallèlement, il n'abandonnera jamais le théâtre, allant de façon très éclectique de la comédie musicale (Une femme par jour, 1943) à l'opérette néo-classique (Virginie Déjazet, 1946) en passant par l'opéra-bouffe et l'opéra-ballet ("La Belle de Paris", Opéra-Comique, 1962, ou "Tristoeil et Brunehouille", parodie-raccourci de l'histoire de l'opéra). On a du mal à imaginer que Van Parys, dont l'image de marque musicale est aujourd'hui liée à des oeuvres d'un style très intemporel (complaintes, valses, ritournelles) ait été en 1927-1928 le plus "jazz" des compositeurs français. Et pourtant, "Lulu", "L'eau à la bouche", "Louis XIV", "le Coeur y est" contiennent de nombreuses pages plus syncopées que la moyenne de leurs contemporaines. Elles sont très soignées quant à l'harmonisation et aux arrangements orchestraux : certains critiques ont même noté que c'était presque trop ! Le principal reproche que l'on peut faire rétrospectivement à ces partitions, c'est leur relatif manque de personnalité : on n'y trouve que rarement, comme chez Yvain ou Moretti, et même Christiné (ou comme chez Van Parys lui-même quelques années plus tard) de ces subtils décalages qui différencient le faiseur de l'artiste. Par ailleurs, Georges Van Parys ne s'est pas distingué à cet époque par le choix de ses librettistes : Serge Veber est d'une vulgarité qui passe souvent les bornes (surtout dans "Lulu" et "L'Eau à la bouche"), sans la manière de Willemetz ou Barde pour faire passer ces turpitudes, et "Couss-Couss" a des relents colonialistes (voir l'analyse) difficilement supportables aujourd'hui. Seul "Louis XIV" peut être partiellement sauvé, pour son aspect satirique, et "Le Coeur y est", dont le livret, signé Raoul Praxy, est dans la ligne de ceux que cet auteur écrivait à la même époque pour Gaston Gabaroche.
Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
|
Un musicien heureux : Georges Van Parys
in "Musica Disques", n° 104, novembre 1962
|
1962 |
|
A la découverte de Georges Van Parys (1902 - 1971)
Les grands airs du cinéma
À l’occasion de la sortie du disque "Georges Van Parys et le cinéma" dirigé par Laurent Petitgirard, membre de la section Composition de l’Académie des Beaux-Arts, Carrefour des Arts invite Natalie Van Parys, petite-fille du compositeur, à venir faire découvrir le parcours musical de son grand-père, grande figure de la musique populaire française.
Canal Académie, 17 juin 2007 |
2007 |
|
Deux piécettes en un acte de Georges Van Parys (1925-1927)
Enregistrement original intégral des partitions chant-piano
|
2020 |
|
Le Million (film) : Le film chantant de René Clair (1931)
Enregistrement original intégral de la partition chant-piano
|
2020 |
|
Minnie Moustache : Enregistrement intégral RTF
RTF, 2 mars 1957 (dif. 8 mars 1957) |
1957 |
|