Olive chez les nègres. Encart publicitaire
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Dessin
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Extr. de : Le Journal, 04.12.1926 |
BNF Gallica |
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Olive chez les nègres.
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Photo V. Henry
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Extr. de : Comoedia, 27.11.1926 |
BNF Gallica |
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Olive chez les nègres. Affiche originale
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Dessin
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Internet |
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Olive chez les nègres. Décor du premier acte
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Dessin Jean Hugo (1894-1984)
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Extr. de : Vogue, 01.02.1927 |
BNF Gallica |
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Olive chez les nègres. Affiche originale
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Dessin Paul Colin (1892-1985)
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Internet |
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Olive chez les nègres
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ou Le Village blanc
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fantaisie opérette en 7 tableaux |
Représentations
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Distribution à la création
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L'Histoire
Résumé de la pièce
×
Un marchand de savon marseillais est jeté sur une côte sauvage par un naufrage, avec sa fille, son futur gendre et quelques comparses. Olive éprouve d’abord, ainsi que tous ses compagnons, une terreur compréhensible : cette peuplade inconnue montre des rangées de dents blanches d’un éclat peu rassurant et Olive, qui est doué d’un aimable embonpoint, ne voudrait pas être mangé ! Mais voici que le roi sombre l’appelle par son nom : Olive Cadolive, fabricant de savon à Marseille, est doucement flatté. Le roi explique, alors qu’il était le chef du « village nègre » à l’Exposition de Marseille, où on l’avait surnommé « le roi de Belloc » ; les blancs venaient voir les nègres comme des bêtes curieuses ; à leur tour les nègres veulent se donner ce divertissement de civilisés : Olive et ses compagnons vont organiser un « village blanc » et exposer leurs personnes et leurs talents à la curiosité railleuse du roi de Belloc et de ses sujets. Les pauvres blancs, dépouillés de leurs vêtements et contraints d’exhiber leurs dessous, traités comme des esclaves, et à chaque instant menacés d’être immolés aux caprices des princesses noires, à la susceptibilité ou au bon plaisir de leur facétieux tyran, sont trop heureux quand un dirigeable français vient les délivrer pour les ramener à Marseille, où ils retrouvent la fanfare municipale et les gentilles Provençales qui avaient salué leur départ, et aussi le roi de Belloc, venu en avion et transformé en danseur de music-hall accompagné de son jazz.
[Extrait de "Comoedia", 28 novembre 1926]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Max Eschig,
1927
Black Diana |
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Chanson de route |
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Johnie |
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O Marseille |
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Enregistrements 78T/mn
Par des interprètes
n'ayant pas participé à la création
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Chanson de route / GEORGE (Yvonne) (chant)
COLUMBIA D 6239 (1927)
acc. piano Jean Wiener |
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O Marseille / GEORGE (Yvonne) (chant)
COLUMBIA D 6239 (1927) - Coll. Hervé David
acc. piano Jean Wiener |
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The White village / WIENER (Jean), DOUCET (Clément) (jazz)
COLUMBIA D 13023 (1927) - Coll. Jacques Gana
acc. 2 pianos |
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