Mon vieux. Air détaché : Depuis que j'aime (27 x 35 cm)
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Coll. Jacques Gana |
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Mon vieux. Air détaché : Elles ont toujours quelque chose (27 x 35 cm)
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Coll. Jacques Gana |
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Mon vieux. Air détaché : Quand on a du tact (27 x 35 cm)
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Coll. Jacques Gana |
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Mon vieux. Partition complète (24 x 32 cm)
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Coll. Jacques Gana |
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Mon vieux. Air détaché : Les Mots que l'on se dit
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Coll. "Images musicales" |
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Mon vieux. Hiéronimus, Marken, Janine Merrey, Pierre Etchepare, Hélène Kerjac, Marguerite Deval, Marcel Vallée
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 24.12.1924 |
BNF Gallica |
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Mon vieux. Marguerite Deval
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 24.12.1924 |
BNF Gallica |
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Mon vieux. Janine Merrey
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 24.12.1924 |
BNF Gallica |
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Mon vieux. Janine Merrey, Hiéronimus
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 24.12.1924 |
BNF Gallica |
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Mon vieux. Marcel Vallée, Mlle Marken
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Photo
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Extr. de : Comoedia, 24.12.1924 |
BNF Gallica |
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Mon vieux. Air détaché : Illusion (piano seul)
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Internet |
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Mon vieux. Air détaché chant et piano : C'est bêt' comm' chou
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Dessin Roger de Valerio (1886-1951)
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Coll. Claude Albisson |
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Mon vieux
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comédie en 3 actes mêlée de chansons |
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 74 jours |
Potinière |
18/12/1924 - 01/03/1925 |
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74 |
Création |
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Distribution à la création
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La partition comprend 3 airs de Pierre CHAGNON, 6 de Albert CHANTRIER, 1 de Gaston GABAROCHE, 2 de Raoul MORETTI, 3 de Fred PEARLY, 3 de Joseph SZULC
L'Histoire
Résumé de la pièce
×
Une mère et une fille, Mme Aubin et Martine, mènent une existence contraire à la morale, mais c'est la mère qui est légère et enflammée et la fille qui est froide et sage. Ainsi, tandis que Mme Aubin prodigue ses mûrs appas à l'ingénu Dodo, ami d’enfance de Martine, et le trompe en compagnie de collégiens qui sont encore ses cadets, la jeune femme, rangée, sérieuse, se contente d’une liaison avec un homme marié, Le Caroubier, dont l’été est celui de la Saint-Martin. Elle a même l'horreur des jeunes gens à cause de qui l'on fait des sottises et l’on compromet sa carrière. Aussi quand se présente, sous un adroit prétexte, Etienne Villaret, fils du célèbre fabricant de conserves de petits pois, qui a reçu d'elle le coup de foudre aux courses, se voit-il éconduit, n'ayant encore que vingt-cinq années. Mais, de bouillant tempérament, et entêté, il usera, pour ses fins, d'un subterfuge. Puisqu'il faut un « vieux » à Martine, il se fera passer pour son propre père, blanchissant ses cheveux, ridant son visage. Et pour émouvoir la jeune femme qu'il n'effarouche plus, il lui fait tous les beaux contes d'amour, lui murmure toutes les suaves paroles tendres qu'elle n'a jamais entendues, et, finalement, l'emmène dans quelque poétique bosquet suburbain.
Le lendemain elle est souriante et toujours sans peur, car Etienne n'a pas dévoilé son artifice. Une très jolie scène entre le fils et le père, survenu a la suite d'un malencontreux coup de téléphone, scène que surprendra Martine cachée derrière un rideau, amènera le dénouement. Martine conviendra, que la jeunesse, a du bon, que sou cœur est pris, et d'autant, plus aisément que ce sera sans rien sacrifier de sa sécurité. Étienne, en effet, persuadé qu'il ressent un véritable et durable amour, obtient de son père qu'il consente à son mariage avec Martine. Quant à Mme Aubin, elle est trompée à son tour, par le jeune Dodo à qui une pimpante femme de chambre, Marie, révèle l'agrément d’attraits printaniers. Toutefois, il retombe sous la coupe de sa Lampito initiatrice, tandis que Marie accueillera. moyennant de financières compensations, les flambées amoureuses de Le Caroubier.
[Extrait de "La Presse", 27 décembre 1924]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Salabert,
1924
Partition complète (106 p.) |
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Agénor (Pearly) |
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C'est bête comme chou (Pearly) |
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Depuis que j'aime (Pearly) |
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Elles ont toujours quelque chose ! (Chantrier) |
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Illusion valse (Moretti) |
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Je suis cornette (Gabaroche) |
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Les Mots que l'on se dit (Chantrier) |
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Pas comme les autres (Szulc) |
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Quand on a du tact (Chagnon) |
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Illusion valse (Moretti) (in "Album Salabert piano seul" n° 8) |
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Pas comme les autres (Szulc) (in "Album Salabert piano seul" n° 8) |
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Enregistrements originaux ECMF
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Enregistrement intégral d'après la partition
complète chant-piano originale (Enrgt. 2001) |
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Enregistrements 78T/mn
Par des interprètes
n'ayant pas participé à la création
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Agénor / DRANEM (chant)
PATHE Sap 4192 (1924) - Coll. David Silvestre
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Agénor / STIKLEN (Jack) (orchestre)
SALABERT 44 (1924)
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Depuis que j'aime / PERCHICOT (chant)
PATHE Sap X 3524 (1924) - Coll. Michel Montagut
acc. orch. dir. Godfroy Andolfi |
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Illusion valse / BURNIER (Robert) (chant)
PATHE Sap 3304 (1924)
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Illusion valse / BURNIER (Robert) (chant)
SALABERT 99 (1924)
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Illusion valse / STIKLEN (Jack) (orchestre)
SALABERT 44 (1924)
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Pas comme les autres / DRANEM (chant)
PATHE Sap 4192 (1924) - Coll. David Silvestre
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