Le Coq a chanté. Partition complète
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Dessin Georges Dola (Edmond Vernier, 1872-1950)
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Coll. Jacques Gana |
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Le Coq a chanté. Michel Carré
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Photo Jules Sabourin
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Extr. de : Comoedia, 05.09.1921 |
BNF Gallica |
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Le Coq a chanté. Jane Montange
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 05.09.1921 |
BNF Gallica |
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Le Coq a chanté.
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 07.09.1921 |
BNF Gallica |
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Le Coq a chanté.
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 07.09.1921 |
BNF Gallica |
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Le Coq a chanté.
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 07.09.1921 |
BNF Gallica |
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Le Coq a chanté.
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 07.09.1921 |
BNF Gallica |
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Le Coq a chanté
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opérette en 3 actes |
Représentations
Création |
Marseille |
Grand Casino |
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04/05/1921 |
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 25 jours |
Gaîté Lyrique |
06/09/1921 - 30/09/1921 |
P |
25 |
Création |
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Distribution à la création
Programme
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1921 Gaîté Lyrique
Coll. Jacques Gana |
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Les airs détachés ont été publiés en 1921 aux éditions de La Sirène. Le nom de l'orchestrateur Bienvenu Molinetti, ancien chef de l'Opéra de Marseille, n'apparaît nulle part, l'information est issue d'une lettre de Michel Carré publiée par Comoedia le 16 février 1924.
L'Histoire
Résumé de la pièce
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La scène se passe à Paris sous le second Empire
Le baron Lefresnoy annonce au jeune et poseur François de Gerny que l’Empereur veut le marier à la petite Arlette de Vaufrèges ingénue genre enfant terrible.
Arlette et François se rencontrent, se voient, se plaisent sans se le dire et font un pari : que François ne fera la cour à aucune femme avant le lendemain minuit. Arlette aidée de son cousin Guy se déguise et va tout tenter pour que François perde son pari.
Le baron Lefresnoy donne une grande soirée pendant laquelle, suivant la mode de l’époque, on assiste à un défilé de couples déguisés. C’est d’abord un couple espagnol qui entre en dansant : puis ensuite la célèbre et belle Païva, dont l’hotel était situé aux Champs Elysées là où se trouve actuellement le Traveller's Club. La Païva, qui était une grande courtisane, avec le concours du Corps de ballet, mène une grande scène mythologique : le bain de Diane. François reste seul d’abord avec l’Espagnole puis avec la Païva. Emporte par son besoin de paraître, il leur fait la cour à toutes les deux en termes brûlants, si brûlants que Arlette, (car c’est à elle qu’il s’adresse sans la reconnaître sous son déguisement) sent son cœur s’émouvoir. Mais François était l’ami très cher de la baronne Lefresnoy qui se voyant délaissée, lui fait une terrible scène et ensuite exhale son chagrin dans une romance qu'elle accompagne sur la harpe.
Son mari la console de son mieux.
Mais tout s'arrange et lorsque le Chambellan Monsieur Le Fresnoy vient prendre leur réponse il trouve Arlette et François amoureusement enlacés.
[d'après le programme original]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Max Eschig,
1928
Partition complète (147 p.) |
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Berceuse |
1921 |
Je rêve d'un amour |
1921 |
Valse lente (danse) (piano seul) |
1921 |
Livret (192 p.) |
1921 |
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