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L' Amour qui rode.

 

Photo
Extr. de : Comoedia, 03.05.1920
 

 

 

BNF Gallica

L' Amour qui rode.

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 03.05.1920
 

 

 

BNF Gallica

L' Amour qui rode. Auteurs et Directeur pendant une répétition

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 03.05.1920
 

 

 

BNF Gallica

L' Amour qui rode.

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 21.04.1922
 

 

 

BNF Gallica

L' Amour qui rode. Paul Dullac

 

Caricature Pazzi
Extr. de : Comoedia, 21.04.1922
 

 

 

BNF Gallica

L' Amour qui rode. Reprise à Ba-ta-clan, avril 1922 ("Pan-Pan")

 

Photo
Extr. de : La Rampe, 30.04.1922
 

 

 

BNF Gallica

 

L' Amour qui rode

 
ou Pan-Pan
  opérette en 3 actes
Texte CARRÉ fils (Michel) (Livret)
ACREMANT (Albert) (Livret)
Musique SCOTTO (Vincent)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 75 jours
Eldorado 02/05/1920 - 23/06/1920 P 53 Création
Ba-ta-clan 19/04/1922 - 10/05/1922 22
Distribution à la création
M. HASTI (Robert) Méléagre
Mme ALBANY (Fernande) Cynthie
Mme MYRAL (Nina) Nonia
M. VITRY (Jacques) Marcus
M. GEORGÉ (Ernest) Diomède
M. D'ARY BRISSAC
Mme DUBAS (Marie) Caïa
Mme VIVIANE (Ila) danseuse
Mme FURSEY (Yvonne) Lucia
Mme MARION (Marcelle) Cornélia
Mme NORAH (Lucy) Plancine
Mme BYR (Germaine) Sarah

chorégraphie STILSON
costumes MUELLE (Mlle)
costumes (maquettes) BELLAIGUE (J.-C.)
décors CARRÉ-LEFOL
décors (maquettes) DONATIEN
direction musicale GUTTINGUER (Roger)
mise en scène CLERMONT (Robert)
orchestrations VUILLEMIN (Louis)

Programme
1920 Eldorado
Coll. Jacques Gana

Cette pièce a été reprise le 19 avril 1922 au Théatre Ba Ta Clan, sous le titre "Pan-Pan" (avec quelques remaniements et airs nouveaux)

L'Histoire
Résumé de la pièce

× À Pompéï, à l’époque heureuse ou le Vésuve était calme, l’amour rôdait par les rues ensoleillées et dans les demeures riantes. La fine statuette d’un petit faune dansant, offerte par le vieux viveur Dyomède à son gendre, l’avocat Méléagre, jeta certain jour le trouble dans ce ménage un peu refroidi et la tentation apparut a la jolie Nonia, sous les traits de Marcus Antonius, l’amant inconnu, qui passe au bon moment, choisit son heure et triomphe toujours. Malgré que Nonia eut juré devant le faune de rester fidèle à son piètre mari, elle ne put résister à la tentation. Marcus avait d’ailleurs tout mis en œuvre pour que Méléagre lui-même succombât entre les bras ensorceleurs de la Courtisane Cynthie. Mais l’avocat avait mieux... derrière ses dossiers !... Et c’est la découverte soudaine d’un secret bien gardé, qui rétablit vite l’équilibre entre les deux époux coupables, en leur prouvant qu’ils n’avaient jamais cessé de s’adorer et que seul était responsable de tout le petit faune, aux yeux pervers, dont la présence avait apporté le trouble dans la maison. “La Maison du Faune” où rôda l’Amour malin, est restée célèbre à Pompéï, ou ses ruines laissent rêveurs, aujourd’hui encore, les visiteurs, épris de jolis souvenirs.

[Extrait du programme original, Eldorado, 1920]

A Pompéï, l'amour rode par les rues ensoleillées et dans les demeures riantes. La fine statuette d'un petit faune dansant, offerte par le vieux viveur Dyomène à son gendre, l'avocat Méléagre, jette certain jour le trouble dans le ménage "un peu refroidi" de celui-ci et la tentation apparaît à son épouse, la jolie Nonia, sous les traits de Marcus Antonius, l'amant inconnu, qui passe au bon moment, choisit son heure et triomphe toujours. Bien que Nonia ait juré devant le faune de rester fidèle à son piètre mari, elle ne tarde pas à succomber à la tentation.

Marcus a d'ailleurs tout mis en oeuvre pour que Méléagre lui-même tombe dans les bras ensorcelants de la courtisane Cynthie. Mais la découverte d'un secret bien gardé rétablit vite l'équilibre entre les deux époux coupables, en leur prouvant qu'ils ont jamais cessé de s'aimer et que le seul responsable est le petit faune aux yeux pervers, dont la présence a jeté le trouble dans la maisonnée! Ben, voyons... La "Maison du faune", où rôda l'Amour malin, est restée paraît-il célèbre à Pompëi, où ses ruines laissent rêveurs, aujourd'hui encore, les visiteurs épris de jolis souvenirs...

[Extrait du programme de la reprise, Ba-ta-clan 1922]

Critiques et articles de presse
Le Matin 29/04/1920 Annonce.
Comoedia 30/04/1920 Avant-première par Jules Delini.
La Presse 02/05/1920 Article par Jane Catulle-Mendès.
La Presse 02/05/1920 Article par Spleen le Jeune (Armand Massard).
Le Gaulois 03/05/1920 Critique par Louis Schneider.
Le Figaro 03/05/1920 Critique par Antoine Banès.
Comoedia 03/05/1920 Critique par Max Viterbo.
Excelsior 03/05/1920 Critique par Charles Méré.
L'Intransigeant 04/05/1920 Article par René Bizet.
Le Ménestrel 07/05/1920 Critique par Pierre d'Ouvray.
Comoedia 24/09/1920 Reprise à Bruxelles, th. des Capucines (septembre 1920). Critique par Louis Handler.
Comoedia 19/04/1922 Reprise à Ba-Ta-Clan (avril 1922, "Pan-Pan"). Article par Robert de Thiac.
Le Figaro 21/04/1922 Reprise à Ba-Ta-Clan (avril 1922, "Pan-Pan"). Critique par Jacques Théry.
Comoedia 21/04/1922 Reprise à Ba-Ta-Clan (avril 1922, "Pan-Pan"). Critique par Raymond Charpentier / Montboron.
(suite)
La Presse 24/04/1922 Reprise à Ba-Ta-Clan (avril 1922, "Pan-Pan"). Article par Jane Catulle-Mendès.
La Rampe 30/04/1922 Reprise à Ba-Ta-Clan (avril 1922, "Pan-Pan"). Critique par Georges Schmitt.
Le Monde illustré 13/05/1922 Critique.
Editions imprimées

(chant-piano sauf mention contraire)

Editeur : Max Eschig, 1920

Chanson et danse des libertins
Dès le jour que je fus veuf
La Chanson du Faune
La Robe printanière
Le pêché caché
Les Maris
Quand les femmes sont jolies
Si vous ne savez pas
Valse du vertige


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