La Petite fonctionnaire. Henry Defreyn
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Caricature Auguste Bert (1856-19?)
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coll. ANAO |
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La Petite fonctionnaire. Edmée Favart
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Caricature Tor
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coll. ANAO |
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La Petite fonctionnaire. Edmée Favart (1921)
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Photo
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coll. ANAO |
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La Petite fonctionnaire. Partition complète
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Coll. Jacques Gana |
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La Petite fonctionnaire. Représentation : Defreyn, Edmée Favart, Exiane, Cléden
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : La Rampe, 28.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire. André Messager
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Photo Auguste Bert (1856-19?)
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Extr. de : Comoedia, 13.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire. Edmée Favart
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Photo Reutlinger
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Extr. de : Comoedia, 13.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire. Premier acte
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 16.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire.
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Caricature Pol Bert
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Extr. de : Comoedia, 16.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire.
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Caricature Tor
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Extr. de : Comoedia, 16.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire.
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Caricature Georges Bastia (1904-1980)
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Extr. de : Comoedia, 16.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire. Troisième acte
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 16.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire. Représentation. Final du 1e acte
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : La Rampe, 28.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire. Scène finale
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Photo
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Extr. de : Le Monde illustré, 22.05.1921 |
BNF Gallica |
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La Petite fonctionnaire
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comédie musicale en 3 actes |
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 55 jours |
Mogador |
14/05/1921 - 30/06/1921 |
P |
48 |
Création |
Trianon Lyrique |
19/05/1922 - 25/05/1922 |
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7 |
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Distribution à la création
Programme
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1921 Mogador
Coll. Jacques Gana |
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D'après la pièce d'Alfred CAPUS. La partition fait état de deux auteurs à égalité, mais en réalité, Alfred CAPUS n'est l'auteur que de la pièce originale. L'adaptation et les lyrics sont du seul Xavier ROUX.
L'Histoire
Résumé de la pièce
×
ACTE I. Au Château de Pressigny-sur-Loire.
M. Lebardin, nanti de rentes appréciables, s’ennuie dans son château de Pressigny-sur-Loire, où il s’est retiré avec sa femme, après fortune faite.
— « Imite-moi, lui dit son ami Pagenel, fais la noce ! »
Mais Lebardin ne se sent aucun goût pour ce genre de distraction ; Pagenel partira donc seul à Paris, comme tous les mois, sous un prétexte quelconque, pour aller tromper Mme Pagenel, et Lebardin restera sagement à Pressigny, à multiplier les parties de billard, son passe-temps favori.
Toutes ces belles résolutions sont mises à néant par l’arrivée de la nouvelle receveuse des postes, Mlle Suzanne Borel, une élégante Parisienne, qui, dès sa première visite au château, vient troubler la morne quiétude de l’honnête Lebardin, qui se découvre subitement une âme d’amoureux exaspéré.
Un jeune voisin de campagne, quelque peu hurluberlu, le vicomte de Samblin, n’est pas lui non plus insensible aux charmes de la nouvelle venue, et peut-être regrette-t-il déjà de s’être engagé vis-à-vis d’une veuve très riche des environs, qu’il doit épouser prochainement. Il a le tort d’exprimer un peu trop brutalement ses sentiments à sa première rencontre avec la receveuse, qui sait le lui faire comprendre.
Cependant Mlle Suzanne Borel a complètement transformé Lebardin : son morne ennui fait place à la joie de vivre ; pour lui désormais l’existence est belle et Pressigny, hier honni, aujourd’hui devient un paradis.
ACTE II. Le Bureau de Poste.
Le bureau de poste est devenu le rendez-vous de tous les habitants de Pressigny-sur Loire. Le vicomte se montre plus empressé que tous les autres auprès de la petite fonctionnaire pour tâcher d’effacer la fâcheuse impression de la première rencontre.
De son côté, Lebardin, plus épris que jamais, multiplie ses visites à Mlle Suzanne, qui ne saisit pas bien la raison de ses assiduités. Mme Lebardin commence à s’inquiéter, et, croyant agir dans son propre intérêt, n’hésite pas à faire part à son mari de la crainte que lui inspire le voisinage de cette jeune personne, évidemment disposée à mal tourner.
« S’il en est ainsi, se dit Lebardin, n’attendons pas plus longtemps ! »
Et, sans plus tarder, il écrit à Suzanne qu’il part à Paris, en lui demandant de venir le rejoindre, si elle consent à l'accepter comme protecteur... absolument désintéressé.
Entre temps, le hasard a réuni Suzanne et le vicomte, qui se sont avoué leur amour ; mais, hélas ! une union est pour eux le rêve irréalisable, puisque celui-ci est déjà engagé ailleurs.
C’est à ce moment précis que la petite fonctionnaire reçoit l’étrange missive de Lebardin. Dépitée et malheureuse, elle accepte d’aller le rejoindre à Paris.
ACTE III.
Lebardin a dit à sa femme qu’il allait marier la fille de son ami Blanchet, pour pouvoir aller à Paris, où la petite fonctionnaire, qui — de son côté — a demandé un congé, est venue le rejoindre. En compagnie de Pagenel et de sa maîtresse, ils sont venus s’échouer au music-hall, où ils s’efforcent d’être gais, sans y parvenir.
Le vicomte, lui aussi, a quitté Pressigny, pour oublier sa mésaventure : quelques heures avant son mariage, la riche veuve qu’il devait épouser a filé avec un autre ; et c’est pour s’étourdir qu’il est entré dans ce music-hall, sans se douter un instant qu’il y rencontrera celle à laquelle il pense plus que jamais.
Mais la petite fonctionnaire comprend bien vite qu’elle a fait fausse route ; elle conseille à Lebardin de renoncer à cette vie de débauche et de retourner sans tarder à Pressigny ; elle-même va regagner son bureau de poste qu’elle regrette déjà. Lebardin, maintenant guéri de sa crise amoureuse, ne reste pas sourd à ces bons conseils, et c’est au bras de Mme Lebardin, venue à Paris pour retrouver son mari, qu’il réintégrera son château de la Loire.
Suzanne Borel ne partira pas seule non plus ; à son jeune amoureux désormais libre, elle n’a pas de peine à démontrer qu’elle n’a jamais été la maîtresse de Lebardin ; et comme ils peuvent enfin s’aimer en toute sécurité, la petite fonctionnaire deviendra vicomtesse.
[Extrait du programme original]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Choudens,
1921
Partition complète (208 p.) |
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Bonjour bonjour bonjour |
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C'était une modiste blonde |
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Cinquante ans c'est l'âge admirable |
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Hé là monsieur tout doux |
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J'ai l'honneur de vous faire part |
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Je regrette mon Pressigny |
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Je suis la petite fonctionnaire |
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Je suis vexé veuillez m'en croire |
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L'Amour ! L'Amour |
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Le métier de téléphoniste |
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Lorsque j'étais célibataire |
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Ma chère vous me faites rire |
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O mon Auguste O ma Riri |
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Oui vraiment c'est à n'y pas croire |
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Pstt ! Pstt ! Je fais signe au chauffeur |
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Livret (140 p.) |
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Version filmée, TV, vidéo
Le film homonyme de Roger Goupillières (1928, muet) est l'adaptation de la pièce originale d'Alfred Capus, et non de la comédie musicale de Messager.
Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
Diffusions radio RDF/RTF/ORTF
29/02/1948 |
Avec : Rolland (Jane), Duclos (Germaine), Berthon (Mireille), Delimoges (Blanche), Lenoty (René), Foix (Georges), Payen (Paul), Hamel (Michel) - Dir. Ellis (Roger) |
19/11/1955 |
- Dir. Cariven (Marcel) |
05/11/1967 |
Avec : Collart (Claudine), Stiot (Monique), Benoît (Denise), Duclos (Germaine), Felder (Linda), Castille (Renée), Doniat (Aimé), Rey (Gaston), Lenoty (René), Verdel (Roger), Roi (Pierre) - Dir. Kreder (Jean-Paul) |
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Je regrette mon Pressigny
par Susan Graham |
2003 |
(CD Erato 0927-42106-2, French operettas arias, 2002), orch. dir. Yves Abel |
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Fantaisie
par l'ensemble orchestral "Sorties d'artistes", dans l'arrangement publié par Choudens en 1921. |
2003 |
(Quatuor à cordes, piano, clarinette) - CD Verres Luisants LVL005 Successivement : Choeur des cocottes / Couplets de Lebardin / Entrée du Vicomte / Romance de Suzanne / Duo Riri-Auguste |
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Shimmy
par l'ensemble orchestral "Sorties d'artistes" |
2003 |
(Quatuor à cordes, piano, clarinette) - CD Verres Luisants LVL005 |
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Tango
par l'ensemble orchestral "Sorties d'artistes" |
2003 |
(Quatuor à cordes, piano, clarinette) - CD Verres Luisants LVL005 |
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Enregistrement intégral ORTF
ORTF Radio Lyrique, 17 octobre 1967 (dif. 5 novembre 1967) |
1967 |
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Sélection RTF
Emission "Un peu... beaucoup... passionnément" (Dominique Plessis et Ange Gille), RTF, 19 novembre 1955 |
1955 |
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Enregistrements 78T/mn
Par les créateurs au théâtre
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La Lettre de faire-part / DEFREYN (Henry) (chant)
PATHE Sap 2029 (1921)
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Que l'homme est donc bête / DEFREYN (Henry) (chant)
PATHE Sap 2029 (1921)
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