Spartagas. Encart publicitaire
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Extr. de : Le Matin, 14.03.1924 |
BNF Gallica |
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Spartagas.
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Caricature Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 14.02.1924 |
BNF Gallica |
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Spartagas. Tableau final du 2e acte
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 16.02.1924 |
BNF Gallica |
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Spartagas.
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Photo Henri Manuel
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Extr. de : Comoedia, 16.02.1924 |
BNF Gallica |
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Spartagas.
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Dessin Julien Pavil (1897-1952)
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Extr. de : Comoedia, 16.02.1924 |
BNF Gallica |
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Spartagas
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opérette en 3 actes |
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 47 jours |
Pie qui chante |
15/02/1924 - 01/04/1924 |
P |
47 |
Création |
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Distribution à la création
Programme
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1924 La Pie qui chante
Extrait Internet |
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Jusqu'à une semaine de la première, le titre était "Le Dictateur".
L'Histoire
Résumé de la pièce
×
Au royaume de Tziganie tous les hauts dignitaires sont mis à bas par Spartagas, brigand de grands chemins, et deviennent domestiques. Cependant, Bathilde, princesse de Sardoine, fiancée au prince Rudolf, heritier de Tziganie, s'éprend du brigand dictateur, et, dans une erreur d’extase, lui révèle les noms de tous les amants qu elle a eus. En revanche, Rudolf, file le parfait amour avec la bohémienne Hilda, de la suite de Spartagas. Après cent péripéties. Spartagas deviendra gendre du roi de Sardoine - on peut bien épouser une princesse avec tache quand on n’est qu'un brigand - et Rudolf chantera avec Hilda, le duo de Manon, « à Paris..., à Paris...» !
[Extrait de "La Presse", 7 février 1924]
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Critiques et articles de presse
Editions imprimées
(chant-piano sauf mention contraire)
Editeur : Labbé,
1924
A Paris, c'est autre chose |
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Ah ! Quel métier |
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Cendrillon, pauvre petite |
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Disons-nous gaiement adieu |
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J'ai toujours été si timide |
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Je m'démène |
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Je n'adore que vous |
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La Java du dictateur |
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Le Parfait amour |
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Mon petit Papa |
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Sournoisement |
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