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Le Djorghi.

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 19.04.1923
 

 

 

BNF Gallica

Le Djorghi.

 

Caricature Julien Pavil (1897-1952)
Extr. de : Comoedia, 19.04.1923
 

 

 

BNF Gallica

Le Djorghi. Représentation

 

Photo
Extr. de : Le Monde illustré, 28.04.1923
 

 

 

BNF Gallica

Le Djorghi. Affiche. Dessin de Wilned, qui était également le librettiste de la pièce.

 

Dessin Wilned
 

 

 

Internet

 

Le Djorghi

  opérette en 3 actes
Texte WILNED (Livret)
Musique LENFANT (Edouard)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 5 jours
Trianon Lyrique 13/04/1923 - 17/04/1923 5 Création
Distribution à la création
M. JOUBERT (Léon) Le Djorghi Mouni
M. JOUVIN (Alex) Satiava
M. THERY (José) Le Maharadjah
M. CARDON (Charles) Nala
M. MARRIO (Max) Le grand brahmane
Mme EVRARD (Marcelle) Sita
Mme MYRIL Dourga
Mme MOREAU (Andrée) Radanika
Mme ERTAUD (Odette) Sakountala
Mme NOVAKOWA Vasantasena

direction musicale FRIGARA (Edouard)

L'Histoire
Résumé de la pièce

× Qu’est-ce qu’un Djorghi ? C’est une sorte de derviche, sorcier, assez farceur et intéressé. Commandé par la peur et par l’argent, il mènera tous les événements. Le Maharajah de Gourtakala, d'âge plus que mûr, veut épouser la jeune princesse Sita, reléguant au second plan son épouse Radanika, mère de six filles et qui ne lui donna point d'héritier mâle. Sita aime le jeune prince Satiava et en est aimée. Tous, diversement, conjurent, abjurent, et obligent Monni, le Djorghi, d’arranger les choses selon leur intérêt particulier, d’après les illuminations divines que lui assureront ses méditations. Il fait pour le mieux. Le mariage est célébré entre le vieillard et la fraîche princesse, mais il n’est point consommé, car tout le monde - sauf les femmes - part pour la cirasse au tigre, aussitôt après la cérémonie nuptiale. Au cours de cette chasse, le vieux Maharajah disparait. On le croit dévoré par le fauve, et, selon la loi, ses deux épouses devront être brûlées. Elles esquivent le supplice en se faisant remplacer par des mannequins. Mais l’époux n’est point mort. Revenu, il userait de toutes ses prérogatives, si le Djorghi, qui aime l’or et craint les menaces de Satiava et de l’épouse lésée, prenant l'apparence du dieu Anuba, n'enjoignait au Maharajah de dénouer son union avec Sita et de consentir au mariage de la jeune princesse et de celui qui l’aime.

[Extrait de "La Presse", 21 avril 1923]

Critiques et articles de presse
Larousse mensuel 01/04/1923 Critique.
Comoedia 13/04/1923 Avant-première par Maurice Bex.
L'Echo de Paris 15/04/1923 Critique par Paul Gordeaux.
Le Matin 16/04/1923 Critique par Fred Orthys.
Le Gaulois 18/04/1923 Critique.
Comoedia 19/04/1923 Critique par Georges Linor.
Le Petit Parisien 20/04/1923 Critique par Adolphe Aderer.
La Presse 21/04/1923 Critique par Jane Catulle-Mendès.
Le Monde illustré 21/04/1923 Critique par Pierre Sabatier.
Le Ménestrel 27/04/1923 Critique par Pierre de Lapommeraye.
Editions imprimées

(chant-piano sauf mention contraire)

Editeur : Maillochon, 1923

Livret (30 p.)


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