Miss Cocktail. Au centre, Maguy Warna et Robert Hasti
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Photo Gaston et Lucien Manuel
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Extr. de : Comoedia, 14.10.1934 |
BNF Gallica |
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Miss Cocktail. Maguy Warna, Hasti
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Caricature M Cam (Maurice Camugli, 1901-1974)
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Extr. de : Le Matin, 16.10.1934 |
BNF Gallica |
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Miss Cocktail. Max Révol
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Caricature R. Guérin
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Extr. de : La Presse, 14.10.1934 |
BNF Gallica |
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Miss Cocktail
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opérette en 3 actes et 4 tableaux |
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 |
| 92 jours |
Fontaine |
09/10/1934 - 13/12/1934 |
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66 |
Création |
Folies Wagram |
14/12/1934 - 08/01/1935 |
P |
26 |
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Distribution à la création
Programme
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1934 Folies Wagram (reprise)
Coll. Jacques Gana |
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Lors du passage aux Folies Wagram après la 100e, Maguy Warna fut remplacée par Safanova, et Sim Viva par Pierrette Caillol. Les autres rôles étaient inchangés.
L'Histoire
Résumé de la pièce
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Nous savions bien que les réfugiés russes devaient s’adonner aux métiers les plus imprévus : celui d’alchimiste en cocktails ne dépare point la collection. C’est à ce titre que la jolie Sofia est appelée au bal du ministère. Grâce à l’heureuse providence des opérettes, elle retrouve là son fiancé d’autrefois devenu danseur, Boris, et même son oncle, le général Dourakine, qui s’est fait frotteur, puis « extra », avec l’amusante maladresse de quelqu’un qui brise les potiches et laisse choir les plateaux. Elle y trouve aussi le fringant chef de cabinet Derigny que Janine, la fille du ministre voudrait bien épouser, mais que trouble tout de suite l’énigmatique Miss Cocktail. Là aussi la tante de Janine, l’inflammable Hortense prend feu pour le général domestiqué ; en sorte qu’on voit bien qu’il y a là matière à trois mariages. Bien entendu, ils ne se feront pas sans quelques péripéties jusqu’au jour où le fêtard Derigny et la troupe russe seront ramenés penauds au ministère, à ta suite d’une rafle. Alors l’auteur veut bien laisser pénétrer le repentir dans le cœur du chef de cabinet, et tout s’arrange. Il n’y a qu’une seule victime sur le carreau, celle de l’attaché Des Marchettes, à qui Janine, par dépit, avait laissé de fausses espérances.
[Extrait de "Comoedia", 14 octobre 1934]
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Critiques et articles de presse
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