Accueil     Présentation     Liens     Remerciements     Bibliographie     Actualité du site     Contact  
  Oeuvres     Auteurs     Compositeurs     Interprètes     Techniciens     Editeurs     Théâtres     Chronologie     Documents     SACD    
A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

 

Les Compositeurs

RICHEPIN (Tiarko)

Nom pour l'Etat civil : François Denis Tiarko Richepin
Naissance : Paris 17e, 09/03/1884
Décès : Le Kremlin-Bicêtre, 12/10/1973 (89 ans)
 
"La Chanson des bérets", partition manuscrite inédite

 

Extr. de : Comoedia, 23.08.1930
 

 

 

BNF Gallica

La Tulipe noire. Tiarko Richepin

 

Photo Ed. Conti
Extr. de : Comoedia, 03.04.1932
 

 

 

BNF Gallica

Lettre de Tiarko Richepin à Ernest Joubert au sujet de "La Vertu de Lucette" (projet avorté, 1936)

 

 

 

 

Internet

Tiarko Richepin (vers 1904)

 

Photo Atelier Nadar
 

 

 

BNF Gallica

"La Marchande d'allumettes", partition complète originale (1914)

 

Dessin
 

 

 

Internet

Tiarko Richepin (vers 1934)

 

Photo Ed. Conti
 

 

 

Coll. Pascal Fourgeau

Tiarko Richepin

 

Photo Ed. Conti
Extr. de : Programme original de "Au temps des Merveiilleuses" (Châtelet, 1934)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Tiarko Richepin

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Programme original de "La Tulipe noire" (Gaîté Lyrique, 1932)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Tiarko Richepin

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Programme original de "Venise" (Marigny, 1927)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Tiarko Richepin

 

Photo Gaston et Lucien Manuel
Extr. de : Programme original de "Yana" (Châtelet, 1936)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Tiarko Richepin

 

Photo
Extr. de : Programme original de "L'Auberge qui chante" (Gaîté Lyrique, 1941)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Oeuvres
  1078 j.
Rapatipatoum 1919 21 J.
Venise 1927 169 J.
Le Renard chez les poules 1929 18 J.
La Tulipe noire 1932 72 J.
Au temps des Merveilleuses 1934 295 J.
Yana 1936 347 J.
L' Auberge qui chante 1941 156 J.
Articles de presse
Comoedia

28/09/1908

"Farandole 1er, roi de Calvitie" et "Phénomène", projets avortés (Richepin-Guitry, 1908) ["Un phénomène" sera monté en 1923 avec une musique de Christiné]. Lettre.
Comoedia

19/04/1909

Tell père, tell fils, première oeuvre de Tiarko Richepin, sur un livret de Sacha Guitry, et avec un accompagnement de Maurice Yvain. Article.
Comoedia

06/08/1930

"La Corsaire", projet avorté (1930). Article.
Comoedia

23/08/1930

"La Chanson des bérets", partition manuscrite inédite. Article.
Comoedia

03/04/1932

Photo.
Comoedia

29/03/1934

Au Théâtre des Deux Anes : Tiarko Richepin et le petit Mircha duettistes. Article par Pierre Barlatier.
Comoedia

29/08/1935

Nous allons revoir M Tiarko Richepin et le petit Mirka. Article.
Comoedia

20/09/1941

"La plus jolie", oeuvre collective de Richepin, Cuvillier, Alix, Courtioux sur un livret d'André Baugé et José Germain, projet avorté (1941). Article.

Fils cadet du poète Jean Richepin, il débute dans l'opérette en 1909 avec Sacha Guitry, pour "Tell père, Tell fils" (1 acte, Théâtre Mevisto, 17 avril 1909, accompagné au piano par Maurice Yvain, déjà). Après quoi, on ferma le théâtre !

En 1914, il connaît le succès à l'Opéra-Comique avec "La Petite marchande d'allumettes". Ceci est symptomatique de l'ambiguïté de son oeuvre, qui oscille toujours de façon un peu indécise entre la comédie musicale et l'opéra-comique.

En 1919, il s'associe avec Albert Willemetz pour "Rapatipatoum" qui connaît un succès médiocre. En 1927, il récidive avec "Venise", initialement conçue pour l'Opéra-Comique, et en 1932 avec "La Tulipe noire", dans le même genre. Entre-temps, il aura produit la seule véritable comédie musicale de sa carrière, "Le Renard chez les poules" (1929), qui surprend la critique et ne trouve pas véritablement son public, malgré une distribution de premier ordre et d'indéniables qualités musicales.

Il trouve finalement sa voie et ses plus grands succès dans ses deux associations avec Henri Christiné qui lui apporte la légèreté et la facilité qui lui manquaient pour devenir véritablement populaire.

En 1941, il écrira sa dernière oeuvre, une des rares jouées pendant la guerre, "L'Auberge qui chante", avec le chanteur vedette des années sombres, André Dassary.

Entre 1935 et 1939 il écrivit aussi quelques chansons, et de musiques de films.

Il eut enfin, en tant que fils de poète, le rare privilège de faire l'objet d'un poème de Raoul Ponchon ("Conseils à Tiarko Richepin").

Enregistrements après 1945, disques et radio, documents
  Tell père, Tell fils : Enregistrement intégral RTF
RTF Radio Lyrique, 19 mai 1958 (dif. 20 mai 1958)
1958
  Tell père, Tell fils : Enregistrement intégral ORTF
ORTF Radio Lyrique, 13 mai 1971 (dif. 1er août 1971)
1971

Site conçu et réalisé par Jacques GANA - Illustrations et enregistrements sonores © leurs éditeurs et ayants droit respectifs