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La Dame au domino. Partition complète (24 x 32 cm)

 

 

 

 

Coll. Jacques Gana

La Dame au domino.

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 31.10.1927
 

 

 

BNF Gallica

La Dame au domino. Air détaché : Aimer

 

Dessin Pascal Bastia
 

 

 

Internet

 

La Dame au domino

  opérette en 3 actes
Texte GORSSE (Henri de) (Livret)
DARLAY (Victor) (Livret)
Musique HIRCHMANN (Henri)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 39 jours
Gaîté Lyrique 27/10/1927 - 04/12/1927 P 39 Création
Distribution à la création
M. NABOS (Gilbert) Roger
M. JULLIEN (Henry) Cassignol
M. ALLARD (Robert) Oscar
M. DÉTOURS Petitpont
M. DESCOMBES (Henri) Verteuil
Mme DHAMARYS (Louise) Carlotta
Mme RICHARD (Mary) Maryse
Mme GERARD (Hélène) La Marquise
M. CASTIN (Charles) Lucarini
M. BARRAT Ricardo
M. BERCEGEAY Guiseppo
Mme BATCHEFF (Sonia) 1er travesti (danseuse)

chorégraphie STICHEL (Mme)
costumes DELAHAYE (Andrée)
costumes (maquettes) CARRÉ (Jenny)
décors NUMA
décors CHAZOT
direction musicale CLEMANDH (Jules)
mise en scène STRÉLISKI (Maurice)

Programme
1927 Gaîté Lyrique (2e version)
Coll. Jacques Gana
1927 Gaîté Lyrique
Coll. Jacques Gana
L'Histoire
Résumé de la pièce

× Au premier acte, Roger Verteuil, le fils du banquier bien connu, assistant à une soirée donnée à son insu par son ami Oscar La Brichotte, y retrouve avec plaisir une jeune et jolie femme dont il ignore la personnalité et qu’il a rencontrée à un bal masqué donné à l’Opéra.

Au cours de cette fête, le banquier apprend à son fils qu’il devra partir dans la nuit pour l’Italie afin de terminer une affaire de terrains situés en Espagne ; mais doutant du caractère sérieux de son fils, il décide de lui adjoindre pour Mentor un employé de sa banque nommé Nestor Petitpont dans lequel il a la plus grande confiance.

Au deuxième acte qui se déroule en Italie, Roger Verteuil, suivi de son ami La Brichotte et de Nestor Petitpont, rencontrera pour la troisième fois sa charmante inconnue dont il apprend enfin le nom. La Dame au Domino, comme il l’appelait, est en réalité la célèbre prima dona Carlotta Dolci.

Au troisième acte, nous retrouvons tous nos héros en Espagne, dans une auberge, en compagnie de Napoléon Cassignol, policier amateur et de sa fille Marise, amoureuse d’Oscar La Brichotte. Roger, qui a mené a bien la mission que son père lui avait confiée obtiendra la main de Carlotta et son ami Oscar épousera Marise.

Ajoutons, pour terminer, que la pièce se passe sous le Second Empire, dont nous voyons les jolis décors et les délicieux costumes.

[d'après le programme original, version économique]

La pièce se passe sous le Second Empire.

Roger Verteuil, fils du célèbre banquier, est un des rois de la Mode et de la fête parisienne. Or, un soir, à un bal masqué de l’Opéra, voyant qu'un malotru avait voulu enlever son loup à une dame en Domino, il s’est précipité et s’est institué son cavalier servant. Un duel en est résulté, au cours duquel l’élégant Don Quichotte a reçu une blessure, heureusement légère. Pour cacher cette blessure à son père, et aussi dans l’espoir d’oublier celle qui a fait une si vive impression sur lui, il a fui Paris et est allé, pendant quelques jours, s’installer à la campagne. Mais lorsqu’il revient, — et c’est ici que la pièce commence. — il s’aperçoit qu’il est plus éperdument amoureux que jamais de sa belle inconnue.

Cette femme ! la reverra-t-il jamais? Il n’ose hélas l’espérer !... Mais voici qu’en rentrant, il apprend que son ami intime, son inséparable, le jeune et écervelé Oscar La Brichotte, a organisé chez lui une fête à tout casser, au cours de laquelle il y aura, affirme-t-il, la plus imprévue et la plus charmante des surprises.

Cette surprise, on l’a deviné, ce sera la venue de Mme X... la belle inconnue du bal de l’Opéra !... Elle arrive, en effet, délicieuse de grâce et de beauté, mais, par un caprice bien féminin, elle se refuse à dire son nom et à dévoiler son incognito ! Et la fête suit alors son cours, jusqu’au moment ou le père Verteuil surgit inopinément, mettant tous les invités en fuite vers les salons voisins.

Le riche banquier vient apprendre à son fils qu’il aura à partir le soir même pour l’Italie, afin d’y lever une option qu’il a prise pour l’achat de terrains aurifères situés en Espagne, et dont le propriétaire se trouve actuellement à Naples. On comprend donc le
désespoir de Roger Verteuil, eu voyant qu’il va être obligé de quitter Carlotta, et cela, au moment même, où il vient si miraculeusement de retrouver La Dame au Domino.

Mais, sur ces entrefaites, le père Verteuil, entendant de la musique dans les salons voisins, découvre que son fils, qu’il croyait un garçon sérieux, n’est autre qu’un fêtard, et il décide de lui donner, au cours de son voyage, pour Mentor, un certain Nestor Petitpont, employé de sa banque et qui est l’homme le plus placide et le plus timoré qui soit au monde !...

Roger Verteuil, en compagnie de son ami Oscar La Brichotte et sous les auspices de Nestor Petitpont, à qui le père Verteuil a confié la précieuse option, va donc partir pour Naples, sans se douter que La Dame au Domino, qui n’est autre qu’une prima doua du nom de Carlotta Dolci, viendra le croiser en route, afin d’éprouver incognito son amour et se rendre compte si, comme il lui a semblé le découvrir, il hésiterait, pour ne pas déplaire à son père, à l’épouser, parce qu’elle n’est qu’une comédienne.

C’est aux péripéties de ce voyage en Italie et ensuite en Espagne, que nous assistons dans la nouvelle opérette de la Gaîté-Lyrique, péripéties auxquelles sont mêlés, et dont sont souvent les artisans, un inénarrable détective amateur, du nom de Napoléon Cassignol et sa fille Marise, charmante et espiègle petite fleuriste, qui a jeté son dévolu sur Oscar La Brichotte !

Mais qu’on se rassure ! Roger Verteuil réussira dans la mission qui lui a été confiée et deux mariages conclueront cette romanesque et folle aventure : celui de Roger avec la belle Carlotta et celui d’Oscar avec la jolie Marise ! Quant à Nestor Cassignol, il aura, grâce à la générosité de Roger Verteuil, son agence de police privée sur les grands boulevards, ce qui était le rêve de toute sa vie !

[d'après le programme original]

Critiques et articles de presse
L'Illustration Critique.
Le Gaulois 30/10/1927 Critique par Louis Schneider.
Comoedia 30/10/1927 Article par Pierre Maudru.
Le Figaro 31/10/1927 Critique par Montaudran.
Comoedia 31/10/1927 Photo.
Lyrica 01/11/1927 Critique par Jean Bourbon.
La Presse 02/11/1927 Article par Paul Achard.
Candide 03/11/1927 Critique par Emile Vuillermoz.
La Semaine de Paris 04/11/1927 Critique par CSC.
Editions imprimées

(chant-piano sauf mention contraire)

Editeur : Choudens, 1927

Partition complète (210 p.)
Aimer
Livret (147 p.)

Enregistrements originaux ECMF

Cliquez pour lire le document

Enregistrement intégral d'après la partition
complète chant-piano originale (Enrgt. 2020)


Enregistrements après 1945,
disques et radio, documents
Diffusions radio RDF/RTF/ORTF
06/03/1947
Avec : Darras (Yvette), Duclos (Germaine), Rey (Gaston), Rye-Jean (Gaston), Cambon (Charles), Philippe (André) - Dir. Hesse (Félix)
28/08/1947

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