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Le  Lys noir

  opérette féérie en 2 actes et 3 tableaux
Texte GRINNELL (Edmund) (Livret et Lyrics)
Musique GRINNELL (Edmund)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 11 jours
Trianon Lyrique 10/07/1924 - 20/07/1924 11
Distribution à la création
Mme REYBEL (Maryse) Princesse Sukara
Mme DAVIDSON (Tess) La Fée Vahna
Mme FRANCY (Janine) La Duchesse
Mme ROBERT (Micheline) 1er génie
Mme CLEMENT 2e génie
M. RUDEAU (René) Prince Amoril
M. LENZI (Francis) Le Duc
M. MARTINELLI Grandorum

chorégraphie KERF (Christine)
décors DETHOMAS
direction musicale et orchestration TERESTCHENKO (Th.)
mise en scène JOUBERT (Léon)

Les représentations étaient couplées avec une reprise de "La Chanson de Fortunio" d'Offenbach.

L'Histoire
Résumé de la pièce

× La princesse Zukara est fiancée avec le prince Amoril. Les deux jeunes gens s’aiment et se le disent en duo :
Je ne vois plus personne
Quand tu es près de moi...
C’est très gentil et le bonheur serait à leur porte si, à cette porte, ne guettaient le méchant duc et la méchante duchesse, oncle et tante de la petite princesse qui veulent régner en place des futurs époux et posséder leurs biens. Une bague au chaton empoisonné est offerte par eux à la petite princesse, laquelle succombe aussitôt. Le duc et la duchesse accusent alors le jeune prince d’avoir voulu, ils ne disent pas pourquoi, se débarrasser de sa fiancée, et ils le font arrêter. Le prince s’échappe et gagne une forêt. Il ne gagne pas que cela. Dans la forêt est une fée qui lui apprend que Zukara pourra ressusciter ; elle lui donne deux aimables génies protecteurs... D'autres génies, plus badins, s’ébattent aux accompagnements de l’orchestre en un plaisant ballet : cabrioles et jeux d’assouplissement. Les géants, costumés en troncs d’arbres, puniront le méchant duc et sa femme en les jetant dans des mares. Ils ne feront pas de mal à Amoril et la bonne Zukara ressuscitera d’entre les rochers, aux accords d’une valse langoureuse.

Critiques et articles de presse
Comoedia 12/07/1924 Critique par Armory.
L'Echo de Paris 18/07/1924 Critique par Paul Gordeaux.


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