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L' Ecole des caresses. Programme, couverture

 

 

 

 

Internet

L' Ecole des caresses. Une scène du troisième acte

 

Photo L. de Laperrière
Extr. de : Comoedia, 10.09.1925
 

 

 

BNF Gallica

 

L' École des caresses

  opérette en 3 actes
Texte SMYRNE (M.) (Livret)
ARMORY (Lyrics)
Musique ASCIONE (Raphaël)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 27 jours
Moulin Bleu 09/09/1925 - 05/10/1925 27 Création
Distribution à la création
M. VIRGILE La Violette
Mme RAMOZ (Rose) Florise
M. VILNER Galibier
M. LOYSEL (Jean) Amédée
Mme VERNAND (Gladys) 1e danseuse
Mme MARTEL (C.) Colette
Mme CARLISLE (Gladys) Germaine

L'Histoire
Résumé de la pièce

× Un soir d’ivresse, Galibier, joueur effréné, a mis sa jeune femme en enjeu, et le gagnant, La Violette, vieux don Juan de Framboisy-sur-Eure, entend bénéficier immédiatement de sa veine. Dégrisé, le mari cherche à se dérober et fait passer pour son épouse la vieille demoiselle Florise Douceur, maîtresse de la pension où Colette, la fille qu’il a eue d’une première union, a été élevée. Sa ruse est vite éventée, et voici le commencement des plus extravagants quiproquos. A défaut de la jolie belle-mère, La Violette, qui tient à son gain charnel, se contentera de Colette qui est charmante et ardente, et pour cela il fait une demande en mariage. La jeune fille refuse avec horreur, car elle aime Amédée, un adolescent du voisinage. Or, Mme Galibier, outrée des procédés de son époux, veut se venger de lui sur-le-champ. Et c'est encore le pauvre Amédée qui se trouve sous sa main, mais celui-ci se dérobe vertueusement.

Colette se réfugie dans son ancien pensionnat, auprès de Mlle Douceur qui, pure et brûlante à la fois, ne se console point d’avoir été dédaignée par ce vieux galantin de La Violette. Et c'est là que, grâce au lit de Pomone, la surveillante des élèves, tous les personnages, réunis par le complaisant hasard des vaudevilles, vont pouvoir batifoler, s’agiter, se poursuivre, se reconnaître, parmi l'effervescence de jeunes pensionnaires si délurées qu’à un certain moment même La Violette se croira dans une maison plus hospitalière encore. Tout finit naturellement par une réconciliation générale ; Galibier tombe dans les bras de sa femme qui .ne l'a pas trompé, le libertin épouse la galante surveillante, et Colette se fiance à Amédée.

[Extrait de "La Presse", 10 septembre 1925]

Critiques et articles de presse
Comoedia 10/09/1925 Critique par Robert de Thiac.
La Presse 10/09/1925 Article par Gabriel Volland.
Le Matin 11/09/1925 Critique par Fred Orthys.
Excelsior 11/09/1925 Critique.


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